Agilité en entreprise : une méthode de management Révolutionnaire

Management Agile

Le management agile est l’application des principes du développement agile de logiciels et du Lean Management à divers processus de gestion, notamment le développement de produits et la gestion de projets. Il peut être vu comme une organisation de type …

… ile s’applique au niveau de l’organisation et les méthodes agiles, si elles s’en réfèrent, ne représentent qu’un secteur de l’application des diverses formes d’agilité managériale se référant au lean. Les formes actuelles du lean sont : lean office, lean services, lean industriel, lean product development et plus récemment, issu des méthodes agiles appliquées au développement des systèmes d’information, le Lean IT (pour In

Non, j’ai juste fait un copier-coller de Wikipédia ! (Et c’est juste ici, le premier paragraphe)

En fait, allume toi une clope, car je t’ai piégé pour le référencement.

Toi qui pensais tomber sur un article qui te parlerait de “Comment l’Agilité en entreprise créée une véritable synergie au sein de l’entreprise”, tu viens d’arriver dans ton premier gang-bang dialéctique de rue par des orang-outans enragés qui vont éclater à coups de hanche ta petite Agilité-en-entreprise après de 12 mois de cage de chasteté.

Je pense que tu n’as pas compris sur quoi tu venais de tomber.

Il faudrait envoyer en prison ceux qui appliquent l’Agilité et au bûcher ceux qui la promouvoient ou qui y ont gagnés une place importante dans la société.

“Ouais Jean-Luc, mais t’es pas un peu extrême ?” Evidemment que non, fils de pute. Si ça ne tenait qu’à moi, je mettrai sous ces enfoirés dans une prison au fond de la Fosse des Mariannes pour les séparer de la société. Mais je ne suis pas le foutu président.

Jean-Luc en pleine rétro

Qu’est-ce que l’agilité ?

L’Agilité, mon petit, c’est une méthode révolutionnaire. Aussi révolutionnaire que la voiture électrique ou l’invention de la taxe Carbone. C’est un type intelligent qui a lancé ça et qui a touché le jackpot avec les pigeons aux oeufs d’or (et non plus les poules) des “nouvelles technologies” dans les années 1990.

L’origine de cette méthode prend ses origines par un intello qui a 21/20 de moyenne dans une fac Américaine de mathématiques appliquées au Nucléaire mais qui ne connaissait rien aux intéractions sociales. Il était littérallement associal et il angoissait à l’idée de passer son oral de doctorat car il fallait parler. Déjà qu’il avait beaucoup de mal avec ses collègues ou camarades de classe.

Au lycée, dès qu’on lui parlait, il se chiait dessus. Dès qu’une meuf lui parlait, il éjaculait tout en faisant une crise d’angoisse. On l’appellait donc Gros Caca, il a dû porter des couches et… Bon, on est pas là pour faire sa biographie.

Bref, cet être très très intelligent s’est mis à observer les humains dans leurs interactions et s’est mise à les noter. Surtout pendant ses stages d’étude. Traumatisé par ses expériences sociales et néanmoins seul comme un moine, il notait tout. Les pauses café, les conflits entre collègue, la livraison d’un livrable, les réunions, les jeux de bureau… Tout était dans un énorme livre.

Son Spring Break ? Au lieu de se détendre un coup, notre brave intello en a fait un livre, une méthodologie pour lui-même.

Lorsqu’il eu fini, il se parla à lui même pour la première fois de sa vie sans se faire peur. Avec la même voix suave de Mr BEAN, il baffouilla un mot, en bavant : “Agile”. Lors de son stage de fin d’étude, il portait son manuel “Agile” avec lui et il le fit tomber. Un de ses chefs, le grand directeur pour lequel il bossait, se permit de lire quelques pages du manuel qui était par terre et tomba des nues ! C’était un manuel de management extra-ordinaire à ses yeux.

“Qui l’a écrit ?!” - “C’est… m… moi” répondit l’intello, bafouillant. Le regard brillant, il comprit alors que sa vie allait changer et qu’il pouvait vendre ce qui s’apellera, l’Agilité en Entreprise.

Ce livre était rempli d’observations personnelles et de procédures. Par exemple, il aime bien découper ses tâches avec des étiquettes, ou les réunions régulières en cycle. Il aime que sa mère l’encourage, donc il créa le Scrum Master. Il aimait bien être responsable de projets à l’école, donc il créa les Product Owners

Il amait tant son goûter du mercredi, une véritable cérémonie

Tout un tas de fonctions et de de méthodologies qui, dans l’esprit d’un homme qui avait besoin de réapprendre les interactions avec ses pairs, partait d’une bonne attention…

Mais l’enfer n’est-il pas pavé de bonnes attentions ?

Le voilà aujourd’hui ayant pris sa retraite à même pas 40 ans. Deux filles différentes chaque soir, un jet privé, 3 villas dont une en Suisse quand il doit faire ses dépôts à la banque. Le mec est parti de zéro avec des problèmes sociaux, voilà qu’il est multi-milliadaire et qu’il te clashe car t’as osé lui parler.

Pendant que toi, tu te retrouves à angoisser car t’es à deux jours de la fin du sprint et que tu n’as pas encore livré ta feature en production car, comme d’hab, la pipeline CI/CD merde et sa réparation est prévue pour le prochain sprint. Oui, même le support a des cérémonies et ne peut pas être là pour ses (seuls) client.

Quel énorme enfant de putain, quand même, cet intello.

Autopsie

Tu aimes les phrases à deux balles sorties par tes patrons ou les politiques ? Derrière des “la maîtrise formalisée de processus améliorés en continu” ou encore des “Une entreprise est fonctionnellement agile lorsque ses composants opérationnels collaborent en synergie formelle à anticiper ou à capter le changement, aux fins de le compenser dynamiquement, puis de l’intégrer”, je vais ton montrer ce qui se passe.

Comment c’est organisé

En gros, t’as un sprint. ça ne fait pas de toi un sportif, bien au contraire : c’est un cycle de une à trois semaines où tu dois livrer tes features, enfin un livrable. Simple, jusque là ? Donne moi un sportif qui fait un sprint de 3 semaines, je te jure que je lui monte un autel à son effigie.

T’as un client qui donne une user-story, a.k.a un besoin. Ce besoin, tu le divises en tâches et en sous tâches. Généralement, c’est pas vraiment pour bosser sur le site vitrine de la ferme du coin (Dieu sait que j’aimerais pourtant en refaire). Donc pour s’assurer que tu comprennes et qu’il y a une compréhension mutuelle, les tâches, c’est bien. En plus t’as des supers outils comme Jira pour marquer tout ça au fer rouge. Encore faut-il savoir s’en servir, mais c’est une expertise.

Ouais, Jean-Luc, tu viens de dire que l’Agile c’est génial !” Ta gueule, enfoiré. Je reconnais quand c’est bien, je tire quand c’est pas bien.

Le défaut c’est que c’est ultra cyclique et uniformisé. Tu peux être sûr que le temps passe ultra-rapidement et que tu sens le poids de la routine sur tes épaules. Mais au moins, t’es loin du fils de pute de tech-lead qui t’envoie ce que t’as à faire en un message de 2 lignes dans un langage aussi clair que la doc d’AWS ou de Symphony.

Mais attention, bonhomme. Si l’Agilité s’arrêtait à là, ça ne serait pas un standart adopté par ces salopes de technocrates parisiens.

Des cérémonies à en faire pâlir un franc-maçon

Chez les franc-maçons, il y a 33 grades. C’est un système un peu pyramidal et on peut avoir de tout : du satanisme pur et dur qui déteste Dieu, béni soit son nom, et le Cathlocisme; aux simples penseurs qui se retrouvent pour monter un réseau et réfléchir sur la vie en général. Enfin c’est un globi-boulga de philosophies et de manières de penser.

Dans l’Agile… Ce sont des gens qui ont passés un bac+5 pour la plupart et qui font des réunions. Mais pas n’importe lesquelles. Nous sommes dans une époque où les gens vivent dans l’opulence et le confort, qui ne prennent pas autant en maturité qu’un Poilu (bénis soient ces héros) qui revient de la guerre et qui doit tout faire pour nourrir sa famille avec une charette et un trou d’obus dans son champ. Du coup, les gens sont facilement influençables et croieraient que le pet des poules émettrait du climat au CO2 ou que la Terre est plate si notre bien aimé président le disait. Donc l’Agile a toute sa place.

Bref, on suit scrupuleusement les cérémonies suivantes :

L’avantage, c’est que ça permet à chacun de s’entraider, en théorie. Dans la réalité, il y a un côté contrôle où quand t’as pas réussi à avancer sur tel sujet, t’es dans le viseur. Donc tu prépares ta justification et… Hey attends, même à toi c’est déjà arrivé.

Toi, petit développeur, tu dois assister à cette réunion qui aurait pu être évitée car tu te tapes le daily stand up.

Si t’avais un chef couillu et technique qui te disait “Tiens, fais ça, t’as 3 semaines. Et ça aussi. On va faire un point pendant 20 minutes toi et moi pour découper le tout.”, ça serait plus simple.

Vous l’aurez compris, l’Agilité et ses cérémonies partent du principe que même le développeur est parti prenante sur un projet. Et ça, honnêtement, c’est cool dans le principe. Dans la réalité, tu n’as PAS DE CHEF, d’où ces réunions où chacun va donner son avis comme un petit con de 14 ans qui fait critique de mode alors qu’il porte un hoodies et des converses.

L’agilité est un outil de contrôle qui te donne l’illusion d’avoir le contrôle. On te donne les manettes de gamecube sauf qu’elle est pas branchée, putain. Quand c’est dans la politique, c’est triste mais au fond ça ne va pas changer comment tu gères ta vie. Quand c’est dans le boulot, ça fait un peu mal car tu développes des névroses et du diabète pour compenser.

Ton Scrum Master et ton Product Owner ? Ils sont là pour te dire quoi faire, sans en avoir la responsabilité véritable. Dans ce genre d’organisation, il y a deux étages : les exécutants et les chefs sans être chef, puis enfin les politicards qui gèrent une unité de 50 personnes et qui ont le cerveau bien accroché tel des officiers. D’ailleurs, c’est par pour rien qu’à la Légion Etrangère, t’as une insulte qui circule : “T’es con ou t’es lieutenant ?

Vient le cou du spectacle :

D’un côté, oui, ça donne de la visibilité, tu sais ce que tu fais, ça donne un sens, … D’un autre côté, c’est du grand masochisme chronophage qui te fait regretter l’attente à la Préfecture. Si je pouvais, je remonterai le temps et j’expliquerai à mon moi plus jeune de ne PAS quitter l’infanterie. Je préfère qu’on me dise “tu fais ça, petit con” et me faire baiser plutôt qu’on m’explique et qu’on me justifie pourquoi c’est bien que je me fasse baiser tout en me sentant désolé de ne pas m’être fait baiser plus tôt.

Une pratique devenue une religion

Au même titre que des enfants qui n’ont jamais connus la vie, le Homo Cadrus Parigosorus est un animal bien trop souvent athé qui va oublier sa spiritualité pour sacraliser la performance. Du coup, qu’est-ce qui se passe ? L’homme est un animal naturellement religieux (à défaut, un païen). Nait la religion de l’Agilité. Est-ce que je vais dire “Sainte” Agilité ? Hors de question pour moi d’insulter le mot “saint”.

La Sainte Bible est remplacée par le Manifeste Agile. Les 10 commandements par 12 principes régis par 4 valeurs. Je ne les citerai pas.

Le bon sens chrétien est remplacé par un mode de vie procédurier.

Le repère est la productivité; la météo est l’état du Cluster Hadoop Bare Metal distribué par Oracle qui merde tout le temps, quelle que soit l’entreprise. Oui, qui n’a jamais fait une mise en production d’un simple ETL d’un cluster Hadoop vers une base de données MySQL à 7 personnes ? (moi [le développeur], le référent, 2 types du support dont un qui s’était gouré sur sa demande d’ouverture de flux, 2 types qui ont créé le framework maison et 1 de l’équipe du client)

Cette religion, vous la mélangez au secteur du tertiaire où règnent en maître le passif-agressif et une sorte d’auto-censure. Le chef direct et franc a été remplacé par une pointure du monde de l’Agilité, le genre qui gère les coach agiles. Le directeur gueulard (Eagle-4 [Il gueule fort]) que l’on entendait dans le bureau a été remplacé par un snob politique qui joue aux apprentis sorciers et qui espère avoir du résultat.

L’Agilité, c’est cette religion de paix où chaque adulte est un enfant, une brebi aux mains de son maître. Fais du lait, rien qu’un peu et viens aux séminaires et ta carrière est sécurisée. Ose remettre en question l’autorité ou les tâches et en silence tu seras amené à l’abbatoir, dans le silence le plus total.

Oui, fort à parier que dans les sectes, il y a un endroit au fond de la forêt où gisent les malheureux dont les justes paroles ont été confondues par celles du diable.

A tous ceux-là, sectes tout court ou secte agiles, je sors ce vieux verset de l’Ancien Testament, Isaïe 5-20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »

Je sors aussi la Parole d’Austin 3-16 : « Austin 3-16 says : i just whooped your ass. And that’s the Bottom Line ‘cause Stone Cold said so ! » Parce qu’on est pas que des putains de pigeons.

Concrètement, vous voulez une expérience sectaire poussée à l’extrême ? Imaginez Jean-Luc, au hasard, développeur Junior qui doit aller bosser avec une équipe de Marseille. Bernard, le mec qu’on-sait-pas-trop-ce-qu’il-fout-mais-qui-a-l’air-de-faire-des-heures-pas-possibles parle avec Antoine, le Product Owner de l’équipe Marseilleise. Je rappelle que les deux ne sont pas chefs. Ils décident néanmoins qu’il partira régulièrement à Marseille pour que j’aille m’intégrer avec eux toutes les 2 semaines, puis 3.

Jean-Luc, de son nom de famille Synthcave - parce que c’est un cave et qu’il aime le synthwave - doit régulièrement partir en déplacement dans une équipe qui le tolère à peine. La boxe ? On la met de côté ! Et y’a des clubs, merde. La copine ? Boah, avec de la chance y’a de la moula à Marseille ! Les repas ? C’est fini le régime 12 oeufs par jour, place à Uber Eats et ses enfers culinaires à l’image d’une France quotidiennement bafouée. La dignité ? Remplacée par des délires qui ne sont pas les siens.

Si encore c’était pour un projet de la plus haute importance, Jean-Luc a déjà été militaire, il connaît le prix du sacrifice et de l’abnégation. Mais son sacrifice à lui a été sur l’autel de l’opulence humaine et de l’inutilité Kafkaïenne. Adieu les abdominaux et les réflex de boxe (bon, quand même pas). Bonjour à la moyenne Républicaine et au diabète qui va avec.

Jean-Luc est un fumeur, il avait réussi à arrêter ! Puis ces trajets l’ont remis dedans pour oublier qu’il sert la boucle de l’inutilité.

Le pire dans tout cela, c’est que Jean-Luc pouvait parler à cette équipe via Teams. Mais les chefs-qui-sont-pas-chefs voulaient absolument que Jean-Luc soit parti prenante ! Oui ! Un joueur sans manettes ! Et non un humble salarié qui connaît sa place ! Les cérémonies ? Il fallait A-TOUT-PRIX y assister ! A-TOUT-PRIX, TU M’ENTENDS ?!!

Déjà pouvu de regrets vis à vis de l’Armée, Jean-Luc réalisa à quel point sa décision d’aller dans l’informatique lui coûta. Jean-Luc récoltait seulement les raisins de sa propre colère.

Le pire, c’est que Jean-Luc y a cru à ces conneries sur l’Agilité. Mais Dieu Tout Puissant lui a seulement montré, à l’extrême, à quel point elle était diabolique.

Pour pousser l’absurde à son paroxysme, le Scrum Master sert de conseil et de psychologue, le tout sans être chef, évidemment ! “ça va Jean-Luc ?” demanda t’il, voyant son visage décomposé. Et il va chercher à creuser, à chercher la confession tel un prêtre de Satan qui va envoyer ces confessions aux vipèr… euuh aux Ressources Humaines et non à Dieu le Père. Le Product Owner, lui, est insatisfait et vu qu’il n’est pas chef mais qu’il est chef quand même (enfin sans être chef), il va faire son énorme pute et dire à Bernard que Jean-Luc est un élément qui ne s’intègre pas (a.k.a une brebi galeuse, un être toxique). Jean-Luc ne l’aura jamais entendu de la bouche d’Antoine.

Puis, Jean-Luc fut mis au placard à faire de projets qui auraient pu être fait par des maternelles. Les études, ça paie.

Bottom Line

Si la méthodologie Agile était appliquée par des anciens Navy Seals ou des membres du CPA-10, les brebis galeuses seraient remises au pas et il y aurait des criantes toutes les semaines, des bastons et des bleus maquillés en “Pourquoi porterais-je plainte, Monsieur l’Agent ? Je suis juste tombé dans l’escalier”. Mais la méthologie agile, telle le diable, s’immisce dans l’esprit des plus faibles : les cadres jeunes et dynamiques.

Je propose un décret : un stage d’une semaine en Guyane avec la Légion Etrangère pour toutes les enflures qui veulent se reconvertir dedans. Vous croyez que le Scrum Master irait ensuite proposer ses after-works foireux au Pub du coin le mardi soir ou ses ice-breakers sorti tout le droit d’un manuel de Maternelle x Le Petit Livre Rouge de Mao Zetong ?

Non, tout l’open space serait intégré à un ring de boxe et une salle de musculation. ça sentirait le tabac froid et il y aurait des crachoirs à tabac à chiquer. Les after-works seraient une partie de chasse ou un passage au stand de tir. Et les villes en France ne seraient pas dirigées par des écolos-gauchos qui confondent l’égorgement d’enfant et les réglements de compte sanglants à l’extériorisation d’une colère légitime.

Les Scrum Masters seraient des mecs blasés qui diront “Bon, c’est l’heure de la putain de cérémonie” et qui diront “Ferme ta gueule, Robin, on a plus le temps”. Et tout filerait droit.

Toi qui me lis, petit cadre, tout seul, tu ne pourras face à ce fléau. Mais en groupe, tu peux créer une nouvelle dynamique. Je ne te parle pas de faire tomber l’Elysée, je te parle de casser les règles et d’en créer de nouvelles.

A toi, créateur de l’Agilité, je suis content que tu sois milliardaire. Mais ton oeuvre a failli. Ton monstre s’est échappé pour se mêler à la bêtise humaine. Je te salue néanmoins, car tu as créé une épreuve pour montrer aux Hommes qu’ils doivent s’endurcir.

Quand à toi, petit auteur dans le même délire que moi qui veut écrire un livre, je pense être pas trop mauvais en écriture. Propose-moi donc un partenariat avant de me plagier.

Ah et sinon, les soi-disants cadres, je ne vous ai pas insultés encore : vous êtes turpides au point de vous résigner et de vous envoler à la moindre bourrasque économique. Dès que tonton Don fait un pet, vous paniquez et vous criez POC POC POC comme des putains de poules. Vos costumes 3 pièces de chez Devred ou dépareillés me donnent envie d’investir massivement dans des porte manteau pour vous y accrocher par le slip. Vous écoutez la girl-boss car vous avez envie de la baiser alors qu’elle se fait pougner par un gigachad différent tous les soirs (ou par son mari, tout simplement). Vous êtes des barnacles, des parasites, votre vie est tellement minable que vous enviez secrètement les paysans que vous pourissez à chaque jour que Dieu fait. Vous pavez les routes de l’enfer mais vous vous dites “c’est comme ça” car vous êtes des minables et vous êtes bien content d’aller au CNIT à la Défense pour boire une pauvre bière à 14€10 la pinte. Vous êtes capable de vider les couilles d’un éléphant avec plaisir et en famille si un franc-maçon vous le demandait. Vous êtes les golems d’argile que tous les tyrans ont de tous temps rêvés d’avoir, et vous en êtes fier.

And that’s the Bottom Line, car jean-luc Synthcave l’a dit, BORDEL!